
Cette page est dédiée à toutes personnes (enfants devenus grands, parents, grands parents, et autres membres de la famille) souhaitant partager leur vécu en quelques lignes.
Cela permettra de montrer le nombre de personnes touchés par le phénomène d’exclusion parentale et familiale en toute impuissance. Mais aussi d’avoir un impact plus important lors de nos prochains évènements pour défendre la cause de l’Égalité Parentale, du Respect de la Coparentalité et du bien-être de l’enfant.
Si vous aussi vous souhaitez participer, et donner votre témoignage, vous pouvez nous l’envoyer par mail à contact.racinesdenfants@gmail.com
Quelques règles importantes :
Votre témoignage doit être factuel. Il ne doit pas être trop long, ni dénigrant ou sexiste. Il doit simplement exposer vos vécus et votre avis face à la situation. Lors de l’envoi du mail il vous faudra mentionner votre nom et prénom pour qu’il soit valide. Si toutefois vous souhaitez témoigner de manière anonyme, il vous suffit de nous le notifier dans le mail, n’hesitez pas à mettre un pseudonyme en bas de mail.
J’ai réunies toutes les conditions demandées pour mettre en place une garde alternée : suite à l’éloignement géographique volontaire de la mère, j’ai déménagé
à 7mn de chez elle et de l’école de mes enfants, un logement spacieux avec une grande chambre pour chacun ainsi qu’un grand jardin. Malgré cela la justice me
refuse la garde alternée.
Accusations par la mère :
– Violences conjugales (2019 plainte classée sans suite n°PV 00015398/00658/2020)
– Demande d’ordonnance de protection n°1 (2020 rejetée – n° dossier RG 20/00079)
– Demande d’ordonnance de protection n°2 (2020 rejetée – n° dossier RG 20/00020/268)
– Violences conjugales (2020 plainte classée sans suite n°PV 00015398/00682/2020)
– Agression sexuelle sur ma fille de 4 ans (2021 – plainte classée sans suite n° en cours d’enregistrement)
– Violences sur mineur de moins de 15 ans (mon fils – 2022 – plainte classée sans suite n° en cous d’enregistrement)
– Demande d’intervention des services sociaux car je ne serais pas en capacité de m’occuper de mes enfants (2022)
– Demande d’intervention n°2 des services sociaux – Rapport émis en ma faveur et prouvant les propos mensongers à mon égards
-…
En 2020 la mère part avec les enfants (sous prétexte de violences conjugales), 6 semaines sans donner de nouvelles de mes enfants (c’est moi qui m’en occupait tous les jours auparavant) En plein confinement mes enfants seront logés dans un hôtel puis dans un second à la gare de Strasbourg. Elle les emmènera manger aux restos du coeur, elle déménagera ensuite dans un logement avec chauffage défectueux, en plein hiver, 40km plus loin, les déscolarisera dans cette nouvelle localité (malgré mon opposition et ayant l’autorité parentale!). Puis quelques mois après déménage une nouvelle fois dans un autre logement social et déscolarisera une seconde fois les enfants! Leur mère s’oppose à tous contacts des enfants avec leur père en dehors des minimums précisés par l’ONC – S’opposait à ce que leur père les joignent à Noël, interdit les messageries sur mobile, interdit mon fils de me donner son numéro de téléphone (liste non exhaustive!!). MALGRE TOUT CELA, la justice familiale juge que l’intérêt supérieur des enfants est de rester avec leur mère!!! Alors que j’offrais des conditions idéales avec une grande maison en pleine nature, leur école, leurs amis, leurs activités! Et surtout je ne planifiais pas de les couper de leur mère!

Steven S.
Depuis 2019, j’accumule jugement sur jugement, et sur les deux derniers jugements j’ai réuni toutes les conditions afin d’obtenir la résidence alternée de nos enfants.
Mais la mère dénigre ma nouvelle conjointe, fait des fausses accusations sans preuves, s’immisce dans ma vie privée et j’essaye tant bien que mal de prouver le contraire (avec des preuves).
Malgré cela, la justice ne veut pas m’octroyer la résidence alternée sous couvert de motifs futiles et avec aucun lien avec les contions pour obtenir la résidence alternée.
La mère avait effectué 3 déménagements en 4 ans (les enfants ont une chambre pour eux deux, peu de jardin), tandis que j’offrais à nos enfants une certaine stabilité et confort : un grand jardin, une chambre pour chacune, proximité de leurs copines, proximité de la forêt, proximité des écoles. En effet, je garde la maison familiale.
La situation s’est accélérée depuis mi 2023 entre plusieurs Non représentations d’enfants (sous prétexte que je les manipulerai), conflit de loyauté de notre plus grande, absence de communication de la part de la mère concernant l’éducation et les soins des enfants, absence de l’autorité parental de la mère, et le meilleur pour la fin est que la mère ne se soucie pas du dernier jugement rendu par le tribunal.
Oui oui, vous avez bien lu. La mère ne se souci pas du jugement et n’a pas peur des peines encourues.
Tout ceci est réfléchi, calculé, est de nature à compromettre une nouvelle fois la résidence alternée que je demande !!!!!
Pourtant, avec toutes ces preuves, le juge des affaire familiales est d’avis que la meilleure option pour les enfants est de demeurer auprès de leur mère.
La meilleur option, de mon point de vue, pour l’intérêt des enfants est de voir leurs deux parents à temps égaux.
Apparemment je n’ai pas la même conception que les juges sur l’intérêt des enfants.

John C.
La mère de mes enfants a choisi de quitter le foyer conjugal un mois après la naissance de notre deuxième enfant en octobre 2021.
Elle a pris les enfants avec elle et m’a imposé la police pour son déménagement.
En Janvier 2022 je reçois un dossier d’assignation à bref délai qui contenait des plaintes d’elle et sa famille pour des faits de violences économiques, sexuelles et psychologiques. Ces plaintes étaient corroborées par un certificat médical de 14 pages.
La JAF en charge du dossier a validé le premier éloignement géographique et donné la résidence principale à la mère de mes enfants.
J’ai ensuite essayé de porter plainte car les violences, ce sont moi qui les ai subies pendant notre vie conjugale. J’ai du aller 5 fois au poste de police avant qu’on accepte enfin que je puisse déposer plainte.
J’ai fait appel de la décision et une audience a eu lieu en octobre 2022. Je suis venu avec une plainte de l’ordre des médecins contre le médecin qui avait fait le certificat médical. Mais les conclusions ont été les mêmes.
J’ai donc décidé de déménager et de quitter mon activité professionnelle pour me rapprocher de mes enfants pour être en capacité de demander la garde alternée.
Celle-ci n’a pas été possible car la mère de mes enfants m’a annoncé son nouveau déménagement, cette-fois-ci à 600km.
J’ai donc saisi le JAF à bref délai.
Parallèlement, le JDE a été saisi suite aux deux enquêtes sociales qui ont eu lieu, et une AEMO a été ordonnée. Une des enquêtrices s’interroge sur le discours de la mère au regard des mots prononcés par nos enfants.
Lors de l’audience JAF, cette fois-ci, j’ai pu venir avec le classement sans suite des plaintes de la mère de mes enfants. Son expertise psychologique judiciaire montre des problèmes de type narcissique et un suivi psychiatrique est recommandé.
J’attends le délibéré pour savoir si mes enfants vont partir à 600km ou rester avec moi.
Deux ans ont été nécessaires pour rétablir la vérité, et la présomption d’innocence n’a jamais été respectée.
Il faudrait fixer la résidence au lieu de vie initial des enfants sauf si accord des deux parents/violence avérée.
