Schéma répétitif – exclusion parentale et familiale

L’exclusion parentale et familiale est un phénomène que subissent près d’un million d’enfants encore en 2023.

Nous vous partageons ici le schéma que subissent les enfants, les parents et les familles victimes de ce phénomène d’exclusion.

Des parents et des familles sont victimes, cependant des enfants en pleine construction subissent en toute impunité une violence psychologique non justifiée (l’éloignement physique et émotionnel avec un de ses parents, par conséquent la moitié de tout un pan de sa famille).

Suite à la séparation, un parent décide de rompre le lien entre l'autre parent et l'enfant

Selon une majorité des témoignages recueillis lors des séparations parentales conflictuelles, un parent se sent délaissé en terme de droits parentaux, qu’en est il de l’enfant?

Certaines personnes diront que c’est une facon de faire pour rompre le lien entre un parent et l’enfant, d’autres diront qu’il s’agit d’utiliser l’enfant pour faire du mal à l’autre parent.

Quelque soit les situations cités ci-dessus, l’enfant se trouve déjà au milieu d’un conflit de loyauté (sans s’en rendre compte), il subit l’exclusion parentale et familiale sans en être protégé.

Imposer la médiation familiale avec des professionnels adéquats est une solution de sorte à encadrer au mieux la séparation, et rappeler aux parents que malgré la séparation il se doivent de se supporter jusqu’a la majorité des enfants et même bien plus tard. L’enfant à besoin de ses deux parents pour grandir et se développer dans les meilleures conditions (sauf en cas de carence ou violence avérée)

Dénonciations calomnieuses ou propos exagérés

Bien souvent lors des séparations parentales conflictuelles, un parent décide d’entamer des procédures dans le but d’éloigner l’enfant de l’autre parent.

Le parent ayant pour but d’éloigner l’autre parent de l’enfant, se présente comme victime devant les autorités.

Selon nos témoignages, certains parents vont jusqu’à mentir, afin de faire un signalement ou un dépôt de plainte contre l’autre parent, dans le seul est même but.

Enfin, certains parents se laissent dépasser par leur émotions lors des séparations parentales, et utilisent toutes les voix juridiques possibles  afin de faire passer l’autre parent pour un bourreau. Pourtant l’enfant se trouve au milieu d’un des pires conflits qui ne fait que débuter.

Délit puni par le tribunal correctionnel, la dénonciation calomnieuse est définie comme étant le fait de dénoncer injustement une personne pour un acte qu’elle n’a pas commis.
La peine encourue pour le délit de dénonciation calomnieuse est prévue à l’article 226-10 du Code pénal. Elle est de cinq ans d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende

Non-représentation d’enfant (en toute impunité)

La Non-Représentation d’Enfant est un délit pénal (Art 227-5 du Code Pénal).

Ce délit est généralement appuyé par des dénonciations calomnieuses, laissant le parent victime dans une impuissance totale. Le parent délictuel use de cette impunité pour couper tout lien entre le ou les enfants et le second parent (ainsi qu’avec tout un pan de sa famille).

Selon les témoignages recueillis il existe un vide juridique entre la séparation et le premier jugement. Une longue période pouvant durer des mois sans protection pour l’enfant. Sans présence de jugement la Non-Representation d’Enfant ne peut être caractérisée, et donne souvent suite à une garde exclusive chez le parent qui a décidé de partir avec l’enfant.

Voilà pourquoi ce délit pénal mène à ce jour seulement à 4% de poursuites pénales.

 

La non représentation d’enfant est un délit puni par l’article 227-5 du Code Pénal et doit être condamné dès la première infraction.

Cet article indique : “Le fait de refuser indûment de représenter un enfant mineur à la personne qui a le droit de le réclamer est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.”

Attention : En l’absence de jugement, les deux parents ont autant de droits l’un que l’autre. Même si la Non-Présentation n’est pas caractérisée, il est tout de même possible de déposer plainte.

Pour plus d’informations n’hesitez pas à consulter ce lien.

Éloignement géographique volontaire (en toute impunité)

L’éloignement géographique volontaire désigne le fait pour une personne de déménager avec le ou les enfants, et de changer de lieu de résidence de sa propre initiative, souvent pour des raisons personnelles ou familiales.

Bien souvent un parent abuse de l’Éloignement Géographique Volontaire, en déménageant a des centaines voire des milliers de kilomètres de la zone geographique habituelle de l’enfant.

Cette stratégie et toujours dans le seul but d’éloigner le ou les enfants du second parent.

Cet éloignement est trop peu condamné, et limite la possibilité pour l’enfant d’entretenir des relations régulières avec un de ses parents et tout un pan de sa famille.

Selon nos témoignages, cela compromet fortement une future résidence alternée.

Créer une loi contre les Éloignements Géographiques Vonontaires et la faire appliquer dès lors que l’éloignement à pour seul but d’écarter un parent de  l’enfant. La seule solution possible pour parer à un EGV, que l’enfant reste dans sa  région habituelle, écrire un courrier en LRAR à l’établissement scolaire ainsi qu’au rectorat afin de rompre la présomption d’accord entre les parents, et refusé la radiation de l’enfant.

Demande d'une mesure d'éloignement et de protection

En plus des méthodes précédemment évoquées, les parents cherchant à rompre le lien entre l’autre parent et l’enfant en déclenchant aussi des informations préoccupantes, dans le but de détourner l’attention des services sociaux, en se basant sur des allégations diffamatoires et en utilisant des stratagèmes pour ne pas présenter l’enfant. Cela active l’ensemble du réseau de protection de l’enfance, alors même qu’ils sont débordés.
 

Il faut rapidement imposer une expertise psycologique et psychiatrique au parent manipulateur de sorte à mieux l’aider à faire face à son propre problème. Un suivi psychologique sera également important pour le parent victime de cette machination ainsi que pour l’enfant. Cela aura pour but de limiter l’emprise psychologique du parent manipulateur sur l’enfant et l’autre parent. L’enfant sera ainsi préservé du conflit de loyauté.

Refus de Résidence Alternée

Selon les témoignages recueillis les parents se voyant refusé la résidence alternée se sentent accablés par un passif chaotique, alors même que les dénonciations calomnieuses ont été classées sans suite et que les informations préoccupantes ont pu montrer que les parents accusés n’étaient pas néfaste pour l’enfant.

Cependant les Non-Représentations d’Enfant influent également sur le choix de la résidence alternée. Toujours selon certains témoignages les décisions de garde suite aux NRE sont souvent en faveur du parent délictuel. Dans le but de ne pas perturber l’enfant d’avantage, le choix de la résidence sera là ou l’enfant a été dans l’attente du jugement.

Le parent delictuel a tout pouvoir de perséverer dans la manipulation psycologique, alors même que l’autre parent se sent impuissant.

Il faut sensibiliser d’avantage à la séparation parentale et faire de la prévention autour de la coparentalité et du bien être de l’enfant.

Lors des séparations parentales certains parents se laissent dépasser par leurs émotions personnelles au point de limiter le contact entre l’autre parent et l’enfant.

Apprendre aux parents la différence entre le conflit de séparation et le conflit de garde. Bien souvent le conflit de séparation influe sur le refus de résidence alternée alors meme que les études démontrent que ce mode de garde permet de réduire les conflits.

Pour en savoir plus sur la Résidence Alternée, n’hésitez pas consulter ce lien.

L'enfant est au milieu d'un conflit de loyauté sans fin

L’enfant subit, de façon passive, les manœuvres opérées par l’un des parents. L’enfant se trouve en proie d’un conflit de loyauté que nous allons vous dévelloper en quelques lignes ci-dessous (une page dédiée au conflit de loyauté sera rédigée ultérieurement) :

Le conflit de loyauté est un sentiment inconfortable et nuisible que l’enfant ressent lorsqu’il a l’impression de devoir prendre parti ou de devoir choisir entre des adultes importants pour lui. Cela peut se produire parce que sa mère et son père sont en conflit ou parce que l’un d’eux dénigre les attitudes de l’autre parent, les activités qu’il organise, le choix de son nouveau conjoint ou de sa nouvelle conjointe, ses décisions, etc.

Voici les conséquences du conflit de loyauté :
– vivre dans l’anxiété, être agressif et se replier sur lui-même;
– pleurer, faire des crises de colère, avoir des maux de ventre et des maux de tête, vomir avant les transitions entre ses deux parents.
– ne pas agir de la même façon avec chacun de ses parents et de ses beaux-parents;
– avoir moins envie de voir un de ses parents ou même ne pas vouloir le voir du tout.

Quelques rappels pour protéger vos enfants du conflit de loyauté :

  • Tenir votre enfant à l’écart du conflit parental
  • Lui rappeler si besoin qu’il a le droit de se sentir bien et d’aimer ses deux parents
  • Rassurer votre enfant
  • Encourager votre enfant à passer du temps avec l’autre parent.
  • Décider à la place de votre enfant
  • Valider avec l’autre parent les informations rapportées par votre enfant (si le dialogue est possible)